Vous l'avez certainement remarqué, les médecins ne nous demandent jamais si nous avons déjà en stock les médicaments qu'ils nous prescrivent...
alors 'ça y va'... les gestes sont simples : nous consultons, le médecin nous rédige une prescription et nous passons faire le plein à la pharmacie ! Et notre pharmacie déborde ! Entre les sirops déjà entamés, les boites de gélules et pilules, les génériques, les granulés homéopathiques et autres substances... nous ne savons plus à quoi servent et peuvent encore servir les différents flacons et plaquettes en stock.
Je vous invite donc à mieux connaitre votre pharmacie personnelle et refuser catégoriquement de vous réapprovisionner de médicaments que vous avez déjà en stock.
alors 'ça y va'... les gestes sont simples : nous consultons, le médecin nous rédige une prescription et nous passons faire le plein à la pharmacie ! Et notre pharmacie déborde ! Entre les sirops déjà entamés, les boites de gélules et pilules, les génériques, les granulés homéopathiques et autres substances... nous ne savons plus à quoi servent et peuvent encore servir les différents flacons et plaquettes en stock.
Je vous invite donc à mieux connaitre votre pharmacie personnelle et refuser catégoriquement de vous réapprovisionner de médicaments que vous avez déjà en stock.
Cyclamed ne 'reclyrera plus vos médicaments'...
Le public est toujours invité à rapporter ses médicaments périmés à leur pharmacien. Seulement, à partir du premier janvier 2009, ces vieux remèdes ne seront plus triés et redistribués vers des ONG. Ils seront détruits.
Le "réflexe CYCLAMED" consiste à rapporter chez le pharmacien tous les déchets Issus de Médicaments (médicaments éventuellement non utilisés périmés ou non et les emballages vides ou non) qui restent à la fin d’un traitement pour les valoriser ». C’est ce qui est toujours indiqué sur le site Cyclamed, organisme né en 1993 suite à la parution d’un décret qui « fait obligation aux industriels de pourvoir ou de contribuer à l’élimination des déchets d’emballages ménagers des produits qu’ils mettent sur le marché ».
Hélas, rapporte ladepeche.fr, ce système de redistribution a connu des « aléas » : « détournements de médicaments par des pharmaciens peu scrupuleux qui les revendaient, inadaptation des médicaments récupérés aux besoins des populations du Sud, notices incompréhensibles par des non-francophones, déstabilisation des marchés locaux ». Sans compter que Cyclamed était loin de récupérer les vieux médicaments puisque près de 95% d’entre eux se retrouvaient à la poubelle
En 2005, l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) avait publié un rapport qui se montrait assez sévère vis à vis de ce système de redistribution dans lequel elle pointait « des objectifs séduisants mais insuffisamment encadré », un « cadre juridique incomplet », « la finalité humanitaire n’a plus lieu d’être »…
« Désormais, précise Cyclamed, tous les médicaments récupérés feront l’objet d’une "valorisation énergétique". Ils seront ainsi incinérés dans des unités récupérant l’énergie et équipées de traitements de fumées conformes à la réglementation ».
« Pour les associations qui distribuaient ces médicaments aux populations démunies, de nouvelles sources d’approvisionnement sont à trouver, souligne tf1.fr. L’association Pharmacie Humanitaire Internationale achètera des médicaments neufs et jouera le rôle de fournisseur. »
Certaines ONG, comme l’Ordre de Malte, et certains partis politiques, comme les Verts, dénoncent cette nouvelle disposition.
source : AGORAVOX
Le "réflexe CYCLAMED" consiste à rapporter chez le pharmacien tous les déchets Issus de Médicaments (médicaments éventuellement non utilisés périmés ou non et les emballages vides ou non) qui restent à la fin d’un traitement pour les valoriser ». C’est ce qui est toujours indiqué sur le site Cyclamed, organisme né en 1993 suite à la parution d’un décret qui « fait obligation aux industriels de pourvoir ou de contribuer à l’élimination des déchets d’emballages ménagers des produits qu’ils mettent sur le marché ».
Hélas, rapporte ladepeche.fr, ce système de redistribution a connu des « aléas » : « détournements de médicaments par des pharmaciens peu scrupuleux qui les revendaient, inadaptation des médicaments récupérés aux besoins des populations du Sud, notices incompréhensibles par des non-francophones, déstabilisation des marchés locaux ». Sans compter que Cyclamed était loin de récupérer les vieux médicaments puisque près de 95% d’entre eux se retrouvaient à la poubelle
En 2005, l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) avait publié un rapport qui se montrait assez sévère vis à vis de ce système de redistribution dans lequel elle pointait « des objectifs séduisants mais insuffisamment encadré », un « cadre juridique incomplet », « la finalité humanitaire n’a plus lieu d’être »…
« Désormais, précise Cyclamed, tous les médicaments récupérés feront l’objet d’une "valorisation énergétique". Ils seront ainsi incinérés dans des unités récupérant l’énergie et équipées de traitements de fumées conformes à la réglementation ».
« Pour les associations qui distribuaient ces médicaments aux populations démunies, de nouvelles sources d’approvisionnement sont à trouver, souligne tf1.fr. L’association Pharmacie Humanitaire Internationale achètera des médicaments neufs et jouera le rôle de fournisseur. »
Certaines ONG, comme l’Ordre de Malte, et certains partis politiques, comme les Verts, dénoncent cette nouvelle disposition.
source : AGORAVOX