Pour votre Bien être
Héritier des traditions qui confèrent au benjoin une action relaxante et apaisante, l'Esprit Papier d'Arménie est au service du bien-être de celles et de ceux qui l'utilisent régulièrement.
Réputé depuis l’Antiquité pour ses propriétés antiseptiques, cicatrisantes et expectorantes, le baume de benjoin servait autrefois, en usage externe, pour traiter l’asthme, la toux et les enrouements. Son action favorable sur la psyché et la gestion des émotions lui vaut les faveurs des personnes tendues. On lui attribue des forces purifiantes, dont le principal effet est d’éliminer toutes les émotions et pensées impures et grossières.
Réputé depuis l’Antiquité pour ses propriétés antiseptiques, cicatrisantes et expectorantes, le baume de benjoin servait autrefois, en usage externe, pour traiter l’asthme, la toux et les enrouements. Son action favorable sur la psyché et la gestion des émotions lui vaut les faveurs des personnes tendues. On lui attribue des forces purifiantes, dont le principal effet est d’éliminer toutes les émotions et pensées impures et grossières.
L'histoire...
Le Papier d'Arménie est né de la rencontre entre un voyageur de retour d'Arménie et un pharmacien qui élabora la méthode écologique, pratique et peu onéreuse qui le caractérise.
L'histoire du Papier d'Arménie débute à la fin du XIXe siècle. Auguste Ponsot, en voyage dans l'Empire Ottoman, se rend en Arménie, appartenant alors au gigantesque empire. Il découvre que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin. De retour en France, il décide d'importer cette pratique traditionnelle et écologique.
Le Papier d'Arménie eut rapidement un grand succès. Il obtint des médailles notamment à l'Exposition d'hygiène de 1888, ainsi qu'à l'Exposition universelle de 1889.
L'histoire du Papier d'Arménie débute à la fin du XIXe siècle. Auguste Ponsot, en voyage dans l'Empire Ottoman, se rend en Arménie, appartenant alors au gigantesque empire. Il découvre que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin. De retour en France, il décide d'importer cette pratique traditionnelle et écologique.
Le Papier d'Arménie eut rapidement un grand succès. Il obtint des médailles notamment à l'Exposition d'hygiène de 1888, ainsi qu'à l'Exposition universelle de 1889.
la fabrication du Papier d'Arménie
Réputé depuis l’Antiquité pour ses propriétés antiseptiques, cicatrisantes et expectorantes, le baume de benjoin servait autrefois, en usage externe, pour traiter l’asthme, la toux et les enrouements. Son action favorable sur la psyché et la gestion des émotions lui vaut les faveurs des personnes tendues. On lui attribue des forces purifiantes, dont le principal effet est d’éliminer toutes les émotions et pensées impures et grossières.
La fabrication du Papier d'Arménie nécessite un composant exclusivement naturel, le benjoin, du papier buvard - salinisé pour retarder sa combustion - et un mélange aromatique dans lequel le papier est trempé.
Apprécié pour ses notes sucrées, vanillées et balsamiques, le benjoin est employé comme fixateur en parfumerie, par Guerlain pour Shalimar par exemple. Sans benjoin, le Papier d’Arménie ne serait pas devenu ce qu'il est. Le styrax pousse dans les forêts de l'Extrême-Orient, notamment dans l'ancien Laos où il est encore largement cultivé aujourd'hui.
Lorsqu’il atteint un diamètre d'environ 15 cm, on l'entaille au coupe-coupe afin de récolter sa résine qui s'écoule par les entailles ainsi faites dans son écorce. Après plus de 6 mois, la résine peut être récoltée, sous la forme de "larmes". C'est le benjoin brut. 1 à 3 kilos de benjoin sont extraits par arbre et par an. Il contient environ 25% d'acide benzoïque grâce auquel il a des propriétés antiseptiques.
Depuis plus de 120 ans, les carnets de Papier d'Arménie sortent de l'atelier de Montrouge après 6 mois d'élaboration et un contrôle permanent.
La fabrication du Papier d'Arménie nécessite un composant exclusivement naturel, le benjoin, du papier buvard - salinisé pour retarder sa combustion - et un mélange aromatique dans lequel le papier est trempé.
Apprécié pour ses notes sucrées, vanillées et balsamiques, le benjoin est employé comme fixateur en parfumerie, par Guerlain pour Shalimar par exemple. Sans benjoin, le Papier d’Arménie ne serait pas devenu ce qu'il est. Le styrax pousse dans les forêts de l'Extrême-Orient, notamment dans l'ancien Laos où il est encore largement cultivé aujourd'hui.
Lorsqu’il atteint un diamètre d'environ 15 cm, on l'entaille au coupe-coupe afin de récolter sa résine qui s'écoule par les entailles ainsi faites dans son écorce. Après plus de 6 mois, la résine peut être récoltée, sous la forme de "larmes". C'est le benjoin brut. 1 à 3 kilos de benjoin sont extraits par arbre et par an. Il contient environ 25% d'acide benzoïque grâce auquel il a des propriétés antiseptiques.
Depuis plus de 120 ans, les carnets de Papier d'Arménie sortent de l'atelier de Montrouge après 6 mois d'élaboration et un contrôle permanent.
N’employant pas de gaz propulseur, le Papier d’Arménie est sans danger pour la couche d’ozone. La solution dont les feuilles s’imbibent est à base d’alcool. Pour ralentir leur combustion, celles-ci sont passées dans une solution saline naturelle.
Le papier buvard qui sert à fabriquer le Papier d'Arménie est certifié par le FSC, organisme international indépendant qui agit pour une gestion forestière responsable au niveau mondial.
Il demeure le seul désodorisant d’intérieur qui se présente sous la forme de papier à consumer et est le seul à utiliser le Benjoin, habituellement employé par les parfumeurs.
Le papier buvard qui sert à fabriquer le Papier d'Arménie est certifié par le FSC, organisme international indépendant qui agit pour une gestion forestière responsable au niveau mondial.
Il demeure le seul désodorisant d’intérieur qui se présente sous la forme de papier à consumer et est le seul à utiliser le Benjoin, habituellement employé par les parfumeurs.
Source : http://www.papierdarmenie.fr/